L’ego maintient la forme des choses avec rigidité, sans laisser de place aux possibilités multiples qui amènent à la liberté d’Être. Il formate des limites solides que nous finissons par croire réelles. Nous perdons ainsi notre adaptabilité et notre curiosité naturelles.
Imagination interdite, créativité et changements proscrits : c’est ainsi et pas autrement !
L’ego a tout intérêt à maintenir cet aspect pour exister dans les concepts de conflits. Il crée ainsi l’extrémisme, la rébellion contre les lois d’éthique universelle, le rejet de l’ouverture aux lois du cœur, etc..
Il met les personnes « sous influence » afin de les empêcher de se connecter au meilleur d’elles-mêmes. « Hé ! Hé ! Je te tiens ! Je ne te lâcherais plus !!! Tu n’es qu’un enfant et tu as besoin de moi pour ta protection ! Le monde est si méchant ! Regarde autour de toi !»
Il nous maintient donc dans la croyance que nous sommes des êtres faibles, incapables de penser juste par eux-mêmes.
Il est le gardien sévère de la dépendance qui nous empêche de devenir autonomes.
Il embrume nos esprits dans une vérité relative du : « Je ne crois que ce que je vois ! La matière est la seule vérité ! »
Il insiste pour nous faire entendre que les valeurs du cœur ne sont que faiblesse et inepties. Ainsi, il nous aide aussi à « tourner en rond » obsessionnellement dans ce concept : « Tu vois bien ! Je te l’avais dit ! C’est parce que tu suis ton cœur que tu souffres ! T’éveiller ? A quoi bon ! Ça ne sert à rien ! » Nous en devenons des hystériques de la souffrance ! Nous la rejetons, tout en l’appelant ! Et, … nous ne comprenons plus pourquoi et comment nous en sommes arrivés là !
Beaucoup d’entre nous en arrivent au désespoir total ! Et pourtant, en touchant le fond du désespoir, la plupart, sans savoir pourquoi, trouve la force « de remonter vers la surface », de voir les choses sous un angle différent et de se laisser enfin guider par « autre chose » !
L’ego nous amène dans un premier temps, qui dure depuis la Nuit des Temps, le Temps de « la chute de conscience », vers l’involution, la fermeture, l’enfer d’une souffrance de plus en plus intense et diverse. Nous oublions de plus en plus notre véritable Nature, notre capacité à penser juste, notre puissance intérieure, jusqu’à ce que … !
Oui ! Cette véritable Nature brimée, étouffée, écrasée, prend la puissance terrible d’un ressort qui se « ratatine », avant de libérer d’un coup la pression qui le contraignait à rester inerte.
De nos jours, nous n’avons plus besoin d’en arriver à tant de souffrances pour trouver cet « autre chose » ! Ou, du moins, nous pouvons les transformer en quelque chose de très positif, ou les dissoudre, carrément.
Nous avons même la possibilité de « détendre le ressort » avec puissance, certes, et, … progressivement, sans heurts. Et, devinez qui nous aide dans ce cheminement à la fois doux et puissant : … la voix du cœur ! Nous découvrons alors tout ce qui découle de « la » connaissance révélée !
Quand nous en avons intégré la pleine conscience, celle-ci nous amène à visualiser et ressentir les vibrations qui produisent de l’énergie en nous par l’expansion de conscience issue de la méditation naturelle ou guidée, qui développe la voie du cœur. Nous percevons cette énergie alors, comme de l’or subtil et léger, à la luminosité incomparable et au son pur et cristallin. La sensation de Paix intense et de bien-être qui vont avec, nous amène à les maintenir. La joie naturelle revient en flèche.
Plus nous revenons à la conscience et à la Paix du Cœur, plus notre inspiration nous fait découvrir des « révélations » puissantes et incontournables de « Qui et Ce que Nous Sommes Vraiment selon notre Véritable Nature et notre Idéal le plus pur et le plus élevé »1. (1 : expression favorite de Donald Neale Walsh dans la série « Conversation avec Dieu »)
Et, … comme par miracle, nous en « re »connaissons intuitivement le mode d’emploi !